Le Département accompagne deux ascensions des plus hauts sommets du monde !

Le Conseil départemental soutient deux projets portés par l’Association « Du Souffle dans les Voiles pour Vaincre la Mucoviscidose » avec Maxime Sorel et l’Association « Himalayan clean-up » avec Luc Boisnard.

Le premier, skipper de l’Imoca V and B - Monbana - Mayenne va tenter l’ascension de l’Everest pour hisser le drapeau de Vaincre la mucoviscidose. Le deuxième, chef d’entreprise et alpiniste, se lance un nouveau défi et part à la conquête du Makalu et de l’Annapurna. Objectif : collecter entre 10 et 15 tonnes de déchets.

Après l’Everest des Mers (il avait terminé 10e du dernier Vendée Globe), le skipper mayennais de cœur Maxime Sorel part maintenant à l’ascension de l’Everest des Terres. Plus habitué à la navigation c’est un vrai défi pour lui de gravir le plus haut sommet du monde. Parti le 5 avril de Paris pour Katmandou, accompagné de Guillaume Vallot, son chef d’expédition, Maxime débutera un trek de 6 à 7 jours afin d’aller sur le camp de base de l’Everest. Ils se mettront, après un mois d’acclimatation, en pause pour tenter de toucher le toit du monde aux alentours du 5 mai. Au total il faut compter  environ 5 jours pour gravir l’Everest puis 2 ou 3 jours pour rejoindre le camp de base. Avec Guillaume, Maxime s’est intensément entraîné et est prêt pour tenter son « Double Everest ». Dans la foulée, ils projettent de gravir le Lobuche, montagne de 6100m.

Luc Boisnard, dirigeant de l’entreprise Ouest Acro à Louverné, a déjà réussi la dépollution et l’ascension de l’Everest en 2010. Il est reparti le 28 mars avec le projet « Himalayan clean-up » qui a pour  objectif de dépolluer plusieurs hauts sommets au Népal. Son expédition vise deux sommets majeurs de plus de 8000m : l’Annapurna et le Makalu, où il tentera de ramasser plus de 10 tonnes de déchets. Une équipe sera déployée sur l’Annapurna sous la houlette de Thomas Dutheil, une autre sur le Makalu aux côtés de Luc Boisnard qui compte en profiter pour grimper jusqu’au sommet. A ses côtés, quelques sherpas experts de la haute altitude. Le chef d’entreprise mayennais est arrivé à Seduwan à 1600 m  le 4 avril pour la première journée de marche. Il lui faudra 10  jours de trekking pour arriver au camp de base du Makalu.